Nantes, située dans l’ouest de la France, est une ville riche en histoire et en culture. Bien qu’elle soit principalement connue pour son célèbre château et son quartier historique, il y a de nombreux autres trésors cachés à découvrir dans cette ville fascinante.
Pinon-D
L’île de Nantes est un site fascinant à découvrir pour les visiteurs de Nantes. Autrefois une zone industrielle en déclin, l’île a été transformée en un centre culturel animé avec des installations artistiques contemporaines telles que les Machines de l’île et les Jardins de l’Hôtel de ville.
Les Machines de l’île sont une série d’installations artistiques monumentales, inspirées de l’univers de Jules Verne. Parmi les plus impressionnantes, on peut citer le Grand Éléphant, une créature gigantesque en métal qui se déplace lentement sur l’île en transportant des visiteurs sur son dos. Il y a également le Carrousel des Mondes Marins, un manège à grande échelle qui permet aux visiteurs de monter à bord de créatures sous-marines fantastiques.
Les Jardins de l’Hôtel de ville, quant à eux, sont un jardin botanique urbain impressionnant, conçu comme une série de jardins thématiques qui mettent en valeur les plantes du monde entier. Les visiteurs peuvent découvrir une grande variété de plantes exotiques, de fontaines et de sculptures dans un cadre paisible et verdoyant.
Le Musée d’arts de Nantes est un autre site incontournable à découvrir lors d’une visite à Nantes. Fondé en 1801, le musée abrite une impressionnante collection d’art allant de la Renaissance à l’art contemporain.
Les visiteurs peuvent découvrir des œuvres d’artistes célèbres tels que Monet, Courbet et Rodin, ainsi que des œuvres d’artistes locaux moins connus. Les collections permanentes sont réparties sur plusieurs étages et offrent une variété de styles et de techniques artistiques, y compris la sculpture, la peinture et la photographie.
© Musée des Arts de nantes
© Musée des Arts de nantes
© Wikipedia
Enfin, la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul est un exemple impressionnant d’architecture gothique à découvrir à Nantes. La cathédrale est un monument religieux imposant qui date du XVème siècle. Les visiteurs peuvent découvrir une grande variété d’éléments architecturaux intéressants, y compris des sculptures en pierre, des vitraux colorés et des arcs en ogive.
En résumé, Nantes est une ville qui offre de nombreux trésors cachés à découvrir. L’île de Nantes, le Musée d’arts de Nantes et la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul sont trois sites incontournables à explorer lors d’une visite à Nantes. En dehors de ses lieux touristiques les plus populaires, les visiteurs peuvent découvrir de nouveaux endroits passionnants à explorer lors de leur prochaine visite dans cette ville historique de l’ouest de la France.
Pour vous convaincre d’aller visiter cette ville et sa région Loire-Atlantique : voici une vidéo de présentation de la ville.
Le centre ville d’Albi est constitué d’une cité épiscopale, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Les bâtiments sont construits avec des briques et de la terre cuite, ocre, rouge et rose qui font son identité et son charme. C’est sur les rives de la Vallée du Tarn qu’était prélevée l’argile rouge, abondante et surtout moins chère que la pierre, à la fin du XIIème siècle. Cela servait à produire de la brique en grande quantité. C’est donc d’un hasard de fortune que cette ville développa un certain charme.
Sur cette photo nous pouvons voir les maisons en terre cuite, dans les différents tons : rosés, orangés, beiges… © J. Poyo
On voit le Tarn qui circule en tortillard dans la ville d’Albi et la cathédrale ainsi que le Palais qui se démarquent largement. © Office du tourisme d’Albi, Vue générale d’Albi, 2011
Cet ensemble majestueux est né au lendemain de la croisade des albigeois. L’évêque de l’époque, Bernard de Castanet, était également vice-inquisiteur du roi. Il a l’idée de faire de cette cité une démonstration de la puissance de l’Eglise. Il s’autoproclame seigneur d’Albi et il fait construire une cité intra muros. Le quartier pittoresque de Castelnau naît ainsi au XIIème siècle. Les bâtiments les plus frappants par leur volume et leur architecture sont le Palais de la Berbie, semblable à un château fort, et la cathédrale Sainte-Cécile. L’évêque cherche ainsi à montrer la puissance catholique.
Le quartier de Castelviel est le quartier historique de la cité. La place Savène comprend des maisons à colombage colorées. Il y a des bâtisses en pan de bois qui sont les habitations typiques des marchands de l’époque et notamment la Maison du Vieil Alby, une des plus anciennes de la ville avec son échoppe au rez-de-chaussé. Non loin de là, la cathédrale Sainte-Cécile. Une cathédrale érigée au XIIIe siècle, de 78 mètres de haut. Elle est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. C’est la plus grande cathédrale en brique du monde et elle résulte d’un chantier titanesque qui dure deux siècles. De l’extérieur austère, elle possède un riche décor gothique flamboyant à l’intérieur. On y trouve une sorte de bible en BD [lien qui renvoie à la tenture de l’Apocalypse] avec des fresques peintes à même les voûtes. L’ensemble épiscopal d’Albi est aussi composé du Palais de la Berbie, construit au XIIIème siècle, une importante résidence, qui a aussi des allures de forteresse.
La cathédrale Sainte-Cécile est le premier site touristique le plus visité dans le vieux quartier. C’est peu dire qu’elle est impressionnante, elle qui a des allures de château fort. © Maxpierre, cathédrale Sainte-Cécile, 2006
Les jardins du Palais de la Barbie offrent une vue panoramique sur les berges du Tarn et la cathédrale Sainte-Cécile. © GilPe, Les Jardins du Palais de la Berbie, 2015
Le Palais de la Berbie est classé au Monument historique et appartient au Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2010. Il constitue l’un des ensembles épiscopaux les mieux conservés de France. © M. Strikis, Palais de Berbie, 2013
Des sorties culturelles au musée, à ne pas manquer
Toulouse-Lautrec habitait au centre du quartier historique et ses œuvres trouvent désormais résidence, pour la plupart, dans le Palais de la Berbie, ancien lieu d’habitation. En entrant dans le Cour d’Honneur, on accède à l’entrée du Musée Toulouse-Lautrec, inauguré en 1922. On trouve dans le musée : tableaux, lithographies, dessins et affiches. Les différentes salles délivrent un bilan chronologique de l’évolution de sa production. Ses jardins suspendus offrent par ailleurs une vue panoramique imprenable sur les berges du Tarn et sur la cathédrale. A savoir que Toulouse Lautrec a fait parti de la période Postimpressioniste de l’histoire de la peinture.
Il y a également à visiter le tout jeune Musée de la mode en plein cœur de la cité épiscopale. Il date du début du XXIème siècle mais se trouve dans une partie de l’ancien couvent des annonciades, bâtisse historique datant du XIIème siècle et ayant connu des modifications et des réaménagements jusqu’au 17e siècle.
Pour en savoir plus
La station météorologique
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La célèbre rue des Rosiers.
L’intérieur de la boulangerie du 16 rue des Rosiers.
La statue de Dreyfus qui y a été inaugurée.
La maison Zola à Médan.
Laon est située dans la préfecture de l’Aisne, proche de Reims et de Saint-Quentin, en terre picarde, à 150 kilomètres au Nord de Paris. De quoi s’échapper quelque temps de la capitale et profiter d’une des plus belles villes de France, ancienne capitale du Royaume français : venez marcher sur les pas de l’ancienne royauté carolingienne !
Si vous voulez en savoir plus sur la Picardie, une vidéo sur son musée est publiée en ligne et Culturmoov vous a concocté une promenade au cœur de l’Histoire de Laon. Le blog consacre également un article à la basilique de Liesse, située dans ses environs.
La cathédrale illuminée, de nuit. Elle surplombe la ville par sa hauteur.
© Raimond Spekking, Cathédrale Notre-Dame de Laon de nuit, 2016
Il y a quarante millions d’années, il y avait à Laon un océan tropical, une mer chaude. Depuis le IIIe siècle, la ville commence à être habitée. Pendant l’Antiquité c’est une forteresse gauloise, puis romaine, juchée sur une colline qui surplombe toute la plaine Picarde (110 m de hauteur). Sa situation la rend imprenable. La ville, construite comme un lieu défensif, n’a jamais été prise pendant mille ans. Puis au VI ème siècle, l’évêque d’une des villes les plus puissantes de la Gaule, Saint-Rémy, décide de faire de Laon un évêché. La ville devient par la suite capitale des derniers rois carolingiens de la Francie occidentale pendant près de cent ans.
Il est possible de réaliser une balade de six kilomètres autour des remparts, d’une durée de deux heures.
Il y a donc plusieurs bâtiments religieux à Laon malgré que certains aient été pillés pendant la Révolution. Demeure notamment l’église de Saint-Martin de Laon.
Désormais, la ville s’organise en deux parties : la partie haute avec la cité médiévale et la ville basse, plus récente. Tous les siècles sont finalement représentés : on y trouve aujourd’hui le plus grand secteur préservé de France, avant le château de Versailles. Il y a également des souterrains dans la ville (75 hectares sur deux sous-sol.), ce qui la fragilise et qui génère des risques d’effondrements (il existe des techniques pour y remédier). Autre dommage : le riche patrimoine monumental de la ville de Laon est impacté par la période révolutionnaire. Le regroupement des paroisses urbaines entraîne la désaffection et la vente d’un grand nombre d’églises tandis que la suppression des ordres religieux vide les abbayes et les couvents. Avant la Révolution : douze paroisses urbaines et six autres dans le faubourg. Aucune voie ne s’est élevée en 1830 pour regretter la disparition des anciens monuments de Laon.
Demeure cependant la cathédrale Notre-Dame de Laon, bâtie en acropole, flanquée par cinq tours et protégée par sept kilomètres de remparts. De loin, elle fonctionne comme un point de repère dans le paysage pour les pèlerins. De nombreuses sculptures (1555 – 1180) du premier âge gothique, à-même la cathédrale, sont destinées aux pèlerins qui ne savent pas lire. L’Église constitue effectivement un des premiers édifices religieux du gothique primitif, avec encore quelques influences romanes. Elle est contemporaine de Notre-Dame de Paris.
Une particularité des tours : elles sont surmontées à leur sommet (56 mètres de hauteur) de 16 bœufs sculptés au total, en hommage aux animaux qui avaient peiné pour la construction de la cathédrale. Mais également symboles religieux de l’abstinence, les bœufs ont le regard fuyant. Ils témoignent du retrait chrétien et constituent des intercesseurs entre le ciel et la terre.
Voici trois des seize bœufs qui surplombent la cathédrale.
© Mme Brown, boeufs de la cathédrale Notre-Dame de Laon, 2016, photo
Voici les portes de la cathédrale Notre-Dame de Laon, laquelle s’élève vers le ciel, sa façade dans une répartition tripartite.
Laon, medieval capital of France – Notes from Camelid Country
Pour en savoir plus, rendez-vous sur YouTube.
Plusieurs millions de visiteurs viennent voir Notre-Dame de Paris chaque année. Et vous, vous intrigue-t-elle ? Peut-être préférez-vous la Sainte-Chapelle à la cathédrale Notre-Dame ? Il est possible de visiter la Sainte-Chapelle en ligne sur notre site Culturmoov, ainsi que de prendre connaissance du patrimoine religieux de Liesse et Laon en Picardie.
La cathédrale Notre-Dame est placée sur l’île Saint-Louis, en bord de Seine.
© LeifLinding, La cathédrale Notre-Dame, Paris, 2018, photo / Quale nuovo tempo per Notre-Dame de Paris – Filosofemme
Une légende raconte que Notre-Dame de Paris serait née le 24 mars 1163 quand le pape Alexandre III pose la première pierre. En réalité, à ce moment, elle a déjà un passé long de près de 850 ans. La cathédrale primitive est effectivement différente de celle que nous connaissons actuellement et qui était proche de brûler. Les sources indiquent qu’elle a été construite au plus tard au IVe siècle, à la pointe orientale de l’île de la Cité.
La montée en puissance de l’évêque s’affirme aux Xe – XIe siècles. Le chantier de la nouvelle cathédrale gothique en 1160 illustre la métamorphose de Paris au tournant des XIIe et XIIIe siècles. Il est commandé par les évêques et en particulier par Maurice de Sully (? – 1196). Le projet est en outre porté par un extraordinaire dynamisme économique et culturel, Paris devenant capitale du Royaume dans les années 1190. La construction de la cathédrale gothique précède la construction de l’Etat monarchique. Celle-ci s’accompagne d’une ritualisation des cérémonies du pouvoir qui prend essor dans la cathédrale Notre-Dame. Par exemple, les veillées funèbres des rois avant leur enterrement sont organisées à Notre-Dame à partir du XIIIe siècle. Après l’abolition de la Monarchie, l’Etat connaît différents régimes mais celui qui refonde totalement Paris et organise un grand chantier de rénovation de la cathédrale est Napoléon III. Il fait notamment commande à Eugène Viollet-le-Duc, architecte, d’un parvis et de jardins encadrant la cathédrale.
Charles Louis Napoléon Bonaparte (1808 – 1873), unique président de la Deuxième République, premier chef d’Etat français élu au suffrage universel masculin en 1848, le premier président de la République française et sur le tableau il est monarque depuis 1852
© Etienne Billet, Portrait de l’Empereur Napoléon III, 1860, peinture / File:Napoleon III-Winterhalter-Billet mg 6160.jpg – Wikimedia Commons
Voici par exemple le tapis monumental du chœur. Il est tissé entre 1825 et 1833 par la manufacture de la Savonnerie
© Pierre-Yves Baudoin, Tapis monumental du chœur, 2014, photo / File:Notre-Dame de Paris – Tapis monumental du chœur – 016.jpg – Wikimedia Commons
Parmi ses multiples fonctions, Notre-Dame fait l’office de musée d’art chrétien, exposant des tableaux, des sculptures, montrant une architecture gothique et des arts industriels (orfèvrerie). Elle connaît aussi un usage politique avec les pompes impériales, conçues individuellement par Viollet-le-Duc, qui sont un moyen de propagande de l’Empire. Son usage principal est en outre religieux, l’étymologie du mot “cathédrale” renvoyant au siège épiscopal. Il y a également un usage touristique depuis le roman éponyme de Victor Hugo. La cathédrale devient le lieu de visites organisées au cours du XIXe siècle.
La cathédrale de Paris constitue enfin un motif pour les oeuvres artistiques, à commencer par les créateurs Karl Daubigny (1846 – 1886) et Jean-Baptiste Camille Corot (1796 – 1875)
© Henri Matisse, Notre-Dame, une fin d’après-midi, 1902, peinture / O Que Diz Ele: Henri Matisse “Notre-Dame, une fin d’après-midi – 1902″(DS)
Depuis la fin de l’année 1901, Matisse rencontre des problèmes dans sa carrière artistique et ses toiles se font plus sombres. Pour autant, très peu de couleurs lui en faut pour esquisser au pinceau la cathédrale.
© Maximilien Luce, Notre-Dame, vue du quai Saint-Michel, 1901, huile sur toile / https://misiglo.es/tag/notre-dame/
Maximilien Luce, adepte un temps du mouvement néo-impressionniste, utilise une dernière fois la touche divisée pour une dizaine de toiles sur le motif de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Et si après les Hauts-de-France et la Provences-Alpes-Côte-d’Azur, nous voyagions sur une île qui bouge à Nantes… en Pays de la Loire ? Voici une proposition de voyage culturel au centre de la ville.
Voici un des ponts qui relie l’île de Nantes au reste de la ville. Chaque partie est urbaine et développée.
© Mike Werner (?), Pont de l’île de Nantes / Nantes – Introduction – Travel Information and Tips for France (travelfrance.tips)
Nantes est une ville traversée de cours d’eau (avant tout la Loire), portuaire et comportant de nombreuses îles qui se sont industrialisées et urbanisées au 18e et 19e siècles. Dès le 17e siècle, des ponts sont effectivement créés pour permettre aux activités économiques de se développer sur l’île. La physionomie de l’île telle que nous la connaissons date du 20e siècle. Il s’agit désormais d’un cluster économique d’entreprises culturelles, de l’utopie tant rêvée par les élus d’une ville de Nantes centralisée. La partie de l’île incarne les figures de l’urbanisme moderne et de la technocratie. Petits pas par petits pas, les propositions culturelles se font plus régulières.
Cette image permet d’avoir un aperçu des constructions sur l’île et de voir les nombreux ponts qui relient l’île au reste de la ville.
© saiko3P, vue de l’Île de nantes / 7 Programmes Immobiliers Neufs à Nantes pour 2020 – Les Meilleurs Quartiers ! (appartement-construction.com)
Pour que cet éléphant mécanique ne soit pas le seul sur terre à vivre et à projeter de l’eau, Les Machines de l’île ont décidé en 2018 de soutenir l’association Des Éléphants et des Hommes qui vise à préserver les éléphants et leurs habitats.
© Guilhem Vellut, Les Machines de l’Île de Nantes, 2012 / Les Machines de l’Ile @ Nantes | Guilhem Vellut | Flickr
Parce qu’il est considéré que Nantes n’a pas une offre touristique et culturelle suffisamment innovante, il est décidé de la création d’une infrastructure inédite sur l’île de Nantes, très originale, pour attirer les visiteurs. S’ensuit un appel à idées pour un équipement sur le site des ateliers et chantiers de Nantes. Le but est de transformer l’ambiance des friches industrielles. Les élus se rallient alors majoritairement au projet des Machines de l’île, projet artistique totalement inédit, impulsé par François Delarozière, Pierre Orefice et la compagnie La Machine. Sur le site officiel des Machines de Nantes, il est écrit qu’il s’agirait d’une hybridation entre le monde de Jules Verne et les recherches de Léonard de Vinci. Quelles curieuses machines cette rencontre doit-elle produire ? On s’extasie devant un éléphant désarticulé dans lequel petits et grands peuvent embarquer ! L’effet est spectaculaire : l’éléphant rentre et sort de sa gare sous les yeux ébahis des spectateurs.
Un arbre au héron sur le modèle de l’éléphant était prévu pour 2022. Cependant, il est encore en cours de construction.
Par ailleurs, à côté des nefs abritant les machines s’est ouvert en 2010 la Fabrique artistique, un nouvel équipement culturel consacré aux pratiques artistiques émergentes dans des domaines très variés : musique, arts numériques et visuels et spectacle vivant.
Aujourd’hui, seulement les premiers éléments de la ménagerie mécanique de l’arbre, ainsi que quelques branches existent. Le projet est encore en recherche de financement.
© Traaf, Les machines de l’île, la branche de l’arbre aux hérons 2, 2009 / les machines de l’île, la branche de l’arbre aux hérons 2 | Flickr
Ces grands anneaux ont été disposés le long de l’estuaire à l’occasion de la biennale d’art contemporain en 2007, rien à voir avec les anneaux des Jeux Olympiques !
© Jean-Pierre Dalbéra, Les anneaux de nuit, Estuaire (Nantes), 2012 / Les Anneaux de nuit (Estuaire, Nantes) | Les Anneaux est une… | Flickr
Aussi, l’effort de mise en culture du site des anciens chantiers navals se prolonge par la création d’un espace public aux fortes ambitions culturelles et des offres urbaines éphémères, notamment avec la participation à une biennale d’art contemporain en 2007 par la ville de Nantes : Estuaire. Certaines œuvres sont conservées sur les lieux et toujours visibles lors d’une promenade le long de l’île.